Mon parcours artistique

Dans cette partie liminaire, quelques mots sur mes ascendants……

Mon ascendance maternelle est musicienne. Mon arrière grand-père, Jacques NAU, jouait du violon en orchestre dès la fin du 19ème siècle. Son violon, je l’ai conservé précieusement car il fait partie de mon héritage musical, bien que je n’en aie jamais joué.

J’ai un bon souvenir de la mélomanie de mes grands parents maternels, Rose et Rodolphe NAU. Je vois encore tourner leurs 78 tours sur la platine incorporée dans un magnifique meuble radio à lampes. Toutes les occasions furent bonnes pour écouter ces disques et faire la fête.

Ma mère jouait du violon, de la guitare et de la mandoline.

Mon père jouait de l’harmonica. En sus du jeu de la mélodie ou de l’accompagnement, il maîtrisait parfaitement la technique de la langue pour avoir un rendu très rythmé.

C’est dire que mon enfance fût bercée par la musique et notamment par du « direct » à domicile lors de soirées en famille ou entre amis.

Pour en venir à mon  propre parcours de musiciens, je livrerai chronologiquement mes souvenirs en les regroupant  par décennies ci-dessous. Sous d’autres pages de mon site, il sera loisible d’écouter mes enregistrements « audio », visionner mes réalisations « vidéo » et regarder mes nombreuses photos, le tout largement commenté.

A l’occasion de la rédaction de mes souvenirs, j’ai pu constater que dès qu’un chapitre de mon parcours se fermait, une nouvelle page s’est toujours ouverte pour une autre aventure. J’en viens à croire que la vie est une succession d’étapes évènementielles qui sont écrites d’avance. Même les rencontres les plus improbables, les malheurs ainsi que les emmerdes de toute nature doivent en faire partie. Dès notre naissance, toutes nos échéances existentielles doivent vraisemblablement être encodées quelque part sur un disque dur de notre cerveau auquel on ne peut accéder, même pas en lecture. Seuls les fichiers du passé sont accessibles et on ne peut les modifier. Tout au plus, on peut tirer des leçons du passé si, toutefois, elles ne sont pas contraires au déroulement « programmé » de notre parcours de vie.